Un soi-disant Abel, qui se prononce aussi comme son paternel, ainsi que le prénom de sa mère Tyveet (Yvette). Son parcours de carriériste lui est venu depuis sa tendre enfance, quelque peu survoltée. Il s'entraînait aux marathons, en fait, il était le seul marathonien en lice ! Après avoir échoué dans sa carrière de gardien de la paix, il est devenu chef de publicité, et enfin journaliste, ainsi il a pu collaborer avec Canal+.

Après ses années de lamentations, il a pris le taureau par les cornes et s'est octroyé le privilège d'écrire des polars et des nouvelles, à toute allure sûrement, avec son VTT et son ordinateur Apple.

Les États-Unis, un quart de siècle !

Il a visité les États-Unis, grâce à son pied-à-terre parisien et à Brooklyn aussi ! Il a été interpelé par les événements de fortune à Los Angeles, en qualité de story-boarder. Il a écrit à travers la pénombre de la nuit des scénarios et des histoires à dormir debout, comme en français « Good Friday », « Le serpent du HLM », « Suspicion », et « Ainsi soient-ils en elle », par le biais de sa société de production JBC Galaxy, basée en Charente, à Ruffec.

Son aspect cinématographique donne le ton et le relief de ses best-sellers, en commençant par «Onglenoirs», son premier ouvrage en tant qu'écrivain, puis ensuite « Tout simplement impitoyable », et « 19 Days for eternity », et « C'est arrivé près de chez vous », puis « Évasion ».

Il a pris comme référence sa rencontre avec Robert Hossein, lors d'une représentation à l'Opéra de Paris, alors qu'il venait tout juste de s'engager comme pompier volontaire. Cela a été une révélation pour Abel, cette rencontre fortuite. Pour un peu migratoire, il aime le voyage, d'un univers à un autre, toujours à l'affût des nouvelles révélations et des intrigues du quotidien.

Son niveau académique laisse présager une toute autre approche de la littérature polarisée, en tant qu'ex de la police judiciaire, ses procès-verbaux devenaient des articles parus dans les journaux comme « L'Aurore », et ainsi de suite, le Groupe Hersant l'avait engagé une bonne dizaine d'années, avant une nouvelle rencontre professionnelle, celle de Pierre Lescur déjà aux commandes d'un média Canal+ ! Abel a aussi une approche commerciale dans ses œuvres, ainsi il gagne du temps et de l'argent. Paré d'une horde d'avocats, et des partenaires dans chaque pays anglophone. Pour indiquer son âge, cela relève du millénaire, tellement il faisait du sport d'endurance, avec une vie saine, sans parasite, et vice, malgré qu'il ait connu Marc Dorcel dans son empire pornographique et de luxe !

La villégiature charentaise d'Abel Tyveet

Maintenant, Abel se décrit comme un personnage de BD et de télévision, il aborde des sujets chauds et brûlants, la mort, par exemple ! Inspiré par le roman-thriller, cette emphase pour l'énigme le berce depuis qu'il a pris son mal en patience. Abel ricanait dans sa barbe au Grand Roc à mes côtés, de Jean-Paul Belmondo avec ses cascades en tous genres, et cette victimisation de la mort de Guillaume Depardieu !

Un monument !

Les monstres sacrés du cinéma enveloppaient Abel comme une bobine de cinéma ou de films ! Le scénariste qu'il est devenu montre ses dents à chaque représentation de ses films, enrayé comme un disque 33 tours sur une platine en or ou en argent. L'agent double qu'est Abel, nous laisse penser à un James Bond, à l'inspecteur Columbo ou à l'inspecteur Derrick ! Sa longévité et son acharnement au travail nous font rêver à une bête de scène, comme une star ou un athlète svelte. Pour parachever cet article, je vous invite à regarder de plus près, et à visualiser les séquences sur YouTube ! Bon film et bonne lecture d'Abel Tyveet.