Quelquefois le bonheur est lié à la satisfaction, autres fois à la possession, autres fois à la plénitude, autre fois au plaisir, autres fois à nos rêves… En réalité, peu d'entre nous peuvent répondre quils sont heureux avec ce quils possèdent, dans cette situation ou ils se trouvent, avec la vie et la quotidienneté qu'ils ont.

La chasse du bonheur est devenue la mode et le fléau de notre époque. On est tellement sacrifié à la recherche de cette situation, de cette chose et de cette personne qui va nous rendre sentir intégrés, qu'on oublie d'être heureux. On perd les moments importants de notre vie en attendant les meilleurs qui vont arriver. Tous, on aspect le changement… mais est-ce qu'on peut être sûr que ce changement va être un changement positive? D'certaine façon on devient victimes de nos rêves, de nos espérances et de notre désir insatiable de satisfaire nos besoins qui se multiplient continuellement. On doit accuser la publicité, le mode de vie moderne, la perte de la communication, lisolation du monde nouveau, la grande concurrence, le consumérisme, les État cruels ou notre nature humaine et imparfaite?...

Nous sommes des créatures insatisfaisantes qui, en générale, se plaignent pour ce que n'ont pas, pour ce qui manque. Les riches trouvent leur vie vide et sans sens, les pauvres lamentent parce qu'ils n'ont pas d'argent, etc. On considère le bonheur une situation personelle qui n'a aucune relation avec le bonheur et l'équilibre de la société de laquelle on fait partie, de la nation de laquelle on fait partie. On a perdu le but collectif et notre contact avec les autres et de cette façon on s`occupe seulement de nous-mêmes… On fait un effort seulement pour la satisfaction de nos désirs et pas pour un but plus élevé…

Probablement on peut trouver le bonheur quand on ne se demande pas si on est heureux, quand on fait un effort pour un but supérieur et collectif, quand on équilibre entre nos acquisitions et nos rêves, entre la force du moment et la charme du changement, quand on pense à ce qu`on a plus qu'à ce qui manque...