La question de l’énergie comme force dans la philosophie bantoue de Tempels, nous pousse à poser l’énergisation du réel comme un correctif à la conception de cette philosophie bantoue ; en lieu et place de la force, il sera mieux que le concept de l’énergie remplace bel et bien celui de de la force. Car avec l’énergisation du réel, l’énergie est considérée comme réel à la fois comme pensée et comme construit. Cette réflexion constitue notre repentie, grâce à Paul Feyerabend au sujet de la conception de la philosophie bantoue qui est bel et bien une philosophie à l’instar de la philosophie occidentale.

Le cadre conceptuel

Ce point est essentiellement consacré à la définition de concepts clés :

a) L’énergie : En grec, enegeia, qui signifie en français par acte. Dans une approche physicaliste, l’énergie est une capacité que possède un corps ou un système de corps à produire un travail mécanique (produit d’une force par son déplacement). Il s’agit d’une quantité physique, obéissant à des lois de transformation et de conservation. C’est avec raison que Étienne Klein montre que ce mot est victime du langage courant, donc d’une polysémie problématique car il désigne tout aussi bien la forme que la puissance, la vigueur que l’élan, le dynamisme ayant toujours fait partie du vocabulaire scientifique. Mais sa vraie compréhension actuelle n’a été démontrée qu’en 1717 par Jean Bernoulli. Dans une lettre datée du 24 janvier 1717, il définissait l’énergie comme le produit de la forme par le déplacement, donc E = fd ou E=f/d. Cette première conception scientifique de l’énergie était d’application très limitée pour prétendre coloniser toute la physique. De ce fait, insiste Étienne Klein, l’énergie n’a pu devenir un concept central de la physique qu’un siècle et demi à partir du moment où il fut établi qu’elle obéit à une implacable loi de conservation. Cela signifie que lorsque deux systèmes interagissent, ils échangent de l’énergie au cours de cette interaction, la somme des variations d’énergie dans le premier système se trouve toujours être l’opposée de la somme des variations d’énergie dans le second, de sorte que l’énergie globale est conservée. Nous voyons que l’énergie est accompagnée par ce que nous qualifions par sa propriété qui est le principe de sa conservation. Nous comprenons bien l’énergie par sa nature qui explicite ce qu’elle est vraiment, car elle ne change pas dans les multiples modifications qu’elle peut subir peut subir.

b) La force : Du bas-latin : fortia, de fortis en français solide, énergique. De façon un peu claire, c’est ce qui tend à créer ou à modifier l’état ou le mouvement d’un corps. C’est aussi la masse d’un objet que multiplie l’accélération.

Philosophie bantoue

D’abord, il existe deux concepts qui méritent un éclaircissement. Le concept de la philosophie et celui de bantoue :

a) Bantoue : ce mot est créé par un missionnaire allemand à la personne de Wilhelm Bleek dans sa Théorie ou Courant linguistique bantouistique comparée en 1850. Reconnaissant l’unité historique des langues bantoues dont l’origine serait au Cameroun central et au Sud-Est du Nigeria.

b) Philosophie : comme la manière d’être d’un peuple.
La philosophie bantoue est l’ensemble des croyances, des connaissances des arts… des peuples bantoues.

La théorie bantoue de force

Suite aux préjugés racistes allant à la déshumanisation des noirs en général et ceux de l’Afrique Centrale en particulier, précisément ceux de la République Démocratique, notre pays par le pouvoir colonial. L’expression de ces préjugés qui se manifestait par la question de savoir si les noirs avaient la capacité de produire de la ‘‘Science’’ ou même de la ‘‘philosophie’’ ?

Étant formé par ces préjugés que Placide Tempels, Prêtre Belge de son état, arrivé au Congo Belge, le 03/11/1933 encore colonie de la Belgique. Dès son arrivé dans la région du Lac Moèro, il se met à l’écoute du peuple au jour le jour, il enregistre des devinettes d’enfants, des proverbes et des chansons populaires, notamment en langue : Luabo, Lukonzolwa et Lumbu au diocèse de Kamina.

Dans un témoignage autobiographique, Tempels décrit lui-même ses premières années missionnaires : ‘‘Je suis venu en Afrique en 1933 comme européen, comme blanc, dans une Afrique colonisée.. et surtout en croyant être porteur d’un message divin. J’adoptais cependant des attitudes de blanc, de maître, de Boula Matadi. Et le message que Dieu me confia m’inspirait des attitudes cléricales, de maître spirituel, de docteur autoritaire, de fonctionnaire religieux, de Chef ou Pasteur, vis-à-vis d’ouailles qui n’avaient qu’à écouter, obéir, et se taire’’. Après dix ans de travail missionnaire en brousse, après bien de recherches, d’essais et de désespoirs, il trouve sa voie, en s’intéressant directement à l’homme : ‘‘Je regardais donc cet homme en m’adressant à lui : ‘‘Qu’avez-vous ? Que vous manque-t-il ? Quel homme êtes-vous ? Que pensez-vous ? Que désiriez-vous par-dessus-tout ? Pourquoi vos remèdes magiques ? Que signifient-t-ils ? Comment opèrent-ils ? etc.’’

Le but de Tempels était de se sentir ‘‘muntu’’ au moins une fois. Il voulait penser, sentir, vivre comme lui, avoir une âme bantoue. Une fois parvenu à voir et à sentir la vie comme lui, il rependrait la personnalité européenne, mais parlant un langage vraiment adapté et compréhensible. Mais, dit Tempels, "dans cet effort de confier sa personnalité pour la première fois à l’autre, l’homme bantoue parvient à s’exprimer clairement, en découvrant lui aussi, pour la première, d’une façon réfléchie, le fond même de sa personnalité, le mystère de son être et de son âme". Tempels fut lui-même bouleversé par celui qui lui confiait tout son être. Un dialogue se fait entre lui et l’homme africain, qui lui exprimait ce qu’il désirait par-dessus tout :

  • La vie, la vie intense, la vie pleine, la vie forte, la vie totale, l’intensité dans l’être ;
  • La fécondité, la paternité et la maternité, une fécondité grande, intense, totale, non pas seulement physique ;
  • L’union vitale avec les autres êtres ; l’isolement nous tue’’.

Tempels racontait qu’ensemble, ils découvraient dans le ‘‘muntu’’ tout un univers de pensées et d’aspiration profondément humaine. C’est alors que se produit pour Tempels une ‘‘expérience vitale’’ : au fur et à mesure qu’ils parlaient ensemble de cette triple aspiration, il commença à découvrir en lui-même, sous les attitudes occidentales et son comportement, cet être primitif qui vivait également en lui, il sentait également cette triple aspiration, à la vie pleine, à une fécondité profonde et à l’union et à la communion avec d’autres. Et il pouvait ajouter que c’était l’homme africain qui l’avait aidé à se découvrir ajoute Tempels :

C’est une joie pour nous deux de nous ‘‘rencontrer’’ jusque dans l’âme. Et moi qui croyait qu’après avoir découvert la personnalité bantoue j’aurais eu à redevenir le pasteur, le chef, le docteur, désormais Maître d’une technique, d’un langage adapté pour ‘‘enseigner’’ le christianisme, je voyais tout-à-coup que dans cette rencontre d’homme à homme, d’âme à âme, d’être à être, nous avions évolué d’une connaissance réciproque à une sympathie, et enfin à l’amour, et précisément le christianisme venait de naître et avait déjà commencé.

Tempels continue à dire :

Dans l’histoire biblique, il y eu un homme qui dit : « Je suis venu pour que vous ayez la vie et pour que vous l’ayez abondamment ». Il ne dit pas : « voici la voie pour atteindre la vie » mais bien la vie : « la vie, c’est moi ». Il y eut un homme qui dit : « je suis venue pour que vous soyez féconds, mais d’une fécondité qui dure jusque dans l’éternité. Et ce même homme ajouta : « je suis venu pour que vous soyez un ; un comme moi et le père nous sommes un.

Triple réponse étonnement adaptée à la triple aspiration fondamentale de la personne bantoue. C’est ainsi que Tempels voyait dans la personne de bantoue un cadre de pensé rigoureusement structuré, qui sous-tend le comportement et le discours des africains jusqu’à se faire lui-même, un avocat pour défendre la conception bantoue, comme une philosophie au même titre que la philosophie occidentale, en procédant à une certaine correspondance équivalente ces deux philosophies ; là où la philosophie occidentale parle de l’être, celle de bantoue parle de la force.

Approche prospective de la notion de force

La question fondamentale que nous sommes obligés de nous poser est de savoir quel est le modèle qui servira de référence méthodologique dans la production scientifique ou carrément philosophique. Nous savons que depuis Aristote à nos jours tout savoir considéré comme objectif exprimé dans une démarche édictée par une Institution ou un groupe des scientifiques ou des philosophes d’un domaine donné.

Le concept de la méthode

Aujourd’hui, c’est l’idée d’un discours formel qui précède la science et la dirige, prescrivant par avance les étapes de la recherche et les procédures de contrôle. C’est ainsi que Philippe Hamou, nous montre qu’au XVIème siècle, Pierre de la Ramée contribue à construire le concept classique de la méthode en important la notion du champ de la rhétorique vers celui de la logique : dans sa Dialectique française de 1555, il désigne la méthode comme un « art de la disposition » qui vient après l’invention et le jugement, et montre comment le Maître ou le savant doit présenter et transmettre un savoir dont les contenus sont déjà acquis.

Ce sens pédagogique du terme méthode est encore dominant au début du XVIIè siècle lorsqu’on commence, dans le sillage de Descartes et Bacon, à considérer d’une « méthode d’invention », une expérience qui devait apparaître alors, dans l’ambiance de la logique ramiste, comme un oxymore. Nous allons présenter une démarcation entre l’usage de la méthode dans l’approche de Descartes et celle de Bacon.

Bacon n’utilise jamais la méthode pour désigner sa propre voie de l’invention (qu’il nomme « via », « ratio », « inductio ») et cantonne le terme méthode à son ancien sens d’art de la transmission ; pour Descartes, qui est sans doute l’inventeur l’acception moderne de la méthode comme art d’inventer, l’art qu’il construit sur le modèle des techniques de l’analyse géométrique, conserve pourtant quelque chose de la connotation pédagogique ancienne. Il est clair que pour lui, acquérir des connaissances méthodiques résultent de l’application à soi-même d’une méthode d’auto-éducation, plutôt amplification de règles formelles.

Philippe Hamou a raison de montrer clairement que la méthode moderne est l’héritière de la méthode cartésienne et celles des sciences expérimentales de Claude Bernard. Pour ce dernier, l’idée de contrôle méthodique devient absolument cruciale : aucune expérience ne doit être admise si elle n’a pas été accomplie selon un certain protocole, les échantillons soumis au test doivent être confrontés à un échantillon témoin, les hypothèses interprétatives mises en regard d’hypothèse alternatives.

C’est ainsi que tout ce qui ne se base pas sur cette conception cartésienne de la méthode n’est pas scientifique, et est qualifié de préscientifique ou prélogique. Et, la philosophie bantoue qui est une vécue populaire n’étant pas dans les écrits mais ayant une autre mode de conservation au travers des œuvres d’arts (des sculptures, des chants populaires, dans des proverbes, des devinettes), dans l’artisanat qui se transmettent de générations en générations, dans le but d’éduquer, prévenir, former et même transformer.

En effet, lors de la publication de l’ouvrage de Placide Tempels sur la philosophie bantoue, ci-haut cité. L’ouvrage a été vite critiqué généralement par les partisans ou les héritiers de la méthode cartésienne. Armand Grabois n’a-t-il pas raison d’attirer notre attention sur le fait que depuis Einstein, la science cherche à retrouver des fondations solides. C’est ce à quoi sont employés Karl Popper et ses comparses, érigeant la méthode en critère définitif et absolu de la science. Or, pour Paul Feyerabend, cette suprématie de la méthode n’a d’autre conséquence que d’entraver la recherche scientifique. Il plaide donc pour un «anarchisme épistémologique» pour empêcher la science de se transformer en mythe tyrannique.

Par l’anarchisme épistémologique et la conception baconienne de la méthode qui consiste à l’art de la transmission conformément à son sens traditionnel proposé au XVIème siècle par Pierre de la Ramée. A cette approche, la méthode doit cesser d’être la voie et la guide vers la découverte scientifique, mais plutôt la manière de transmettre cette découverte scientifique. Donc, la manière d’y accéder porte peu, et parfois on y accède hasardeusement.

Par cette conception de la méthode, nous pouvons dire que la philosophie bantoue est bel et bien une philosophie comme toute autre philosophie dans sa particularité ; la question de l’auteur de cette philosophie bantoue est bel et bien la tradition véhiculant dans tout ‘‘muntu’’ c’est-à-dire humain.

Un fait saillant que Paul Feyerabend nous montre, par analogie avec les tribus sans écritures de notre époque, il est possible de se faire une image assez ressemblante de la connaissance de la nature dont disposaient ces artistes. Aux chercheurs qui les interrogent, un informateur du Gabon (Afrique équatoriale) est à lui seul est capable de donner 8 000 expressions de la botanique. Dans ce même domaine, le vocabulaire des Hanoo excède les 2000 termes, leurs classifications sont parfois plus précises et plus systématiques que celles de la science occidentale, et la désignation des espèces, sous-espèces et variations est d’une telle précision qu’elle permet de parvenir à une identification dans la quasi-totalité des cas. Il souligne que les échecs et incompréhensions des chercheurs occidentaux ayant recours aux classifications indigènes résultent non seulement d’une connaissance insuffisante des principes de classification, mais aussi de caractéristiques invisibles pour l’œil d’un observateur occidental formé à une autre école.

L’énergisation du réel

L’énergisation du réel nous voyons deux concepts, celui d’énergisation et du réel :

a) L’énergisation est l’action d’énergiser un objet ou une réalité, ou carrément un système ;

b) Le réel, étymologiquement et de façon générale ce mot vient de latin scolastique qui est le realis de res. C’est-à-dire, la réalité de chose. La définition la plus décisive et claire nous vient de Lalande, qui aide à comprendre le concept du réel ; selon ce dernier, ce concept a cinq sens dont nous en retenons deux qui nous renseignent mieux :

  • Le premier sens du réel, qui se rattache à l’idée des choses en tant que objet de pensée, qui n’a pas une réalité concrète, qui ne trouve son sens que dans l’expérience de pensée, grâce à l’effort de la spéculation.
  • Le second sens du réel, qui se rattache également à l’idée des choses, mais, au sens plein de mot ; qui constitue un objet défini ; c’est ainsi que, le réel peut être conçue entièrement comme phénoménal. Dans cette conception l’exemple que voici, nous aidera à mieux le comprendre ; l’arc-en-ciel n’est pas un objet réel, mais l’air en est.
    De ces deux conceptions du réel, nous tirons la compréhension suivante, il existe deux sortes de réels, le réel donné et le réel construit.

1) Le réel donné qui est celui du philosophe, ce réel est celui qui est pensée, dont, l’existence ne se situe qu’au monde de la spéculation, dans cette catégorie, nous voyons l’activité conceptuelle de chaque philosophe. Ce réel est parfois confondu à la substance, à l’être, et, même à l’essence.

2) Le réel construit, qui est celui du scientifique (physicien).

Ce réel, que détermine la connaissance objective, à partir des constructions théoriques et des procédures expérimentales des sciences. Sur ce, le réel est ce que les scientifiques construisent non arbitrairement et vérifient. C’est ainsi que, Bachelard, nous montre effectivement sa conception du réel ; qui est comme un appareil des raisons, en revenant sur un passé d’erreurs, on trouve la vérité en un véritable repentir intellectuel. C’est dans ce sens, qu’il ajoute : «Rien ne va de soi ; rien n’est donné ; tout est construit».
Le réel construit sert de matrice de visibilité épistémologique ; mais, en tant que paradigme, il demeure toujours explorable, encore explorable car, ses limites sont celles du langage des scientifiques. Et, l’expérience du réel empirique demeure instructrice.

Dès lors, l’objectivité du constructivisme est fonction de limites même du langage et du prolongement instrumental ou de la performance technologique baliseuse des techniques de la caillette des informations ; ainsi que, du traitement de ces dernières moyennant l’intersubjectivité langagière.

Partant de la question que nous nous posons, qui est de savoir qu’est-ce qui peut être construit ? Justement, c’est le réel, à notre entendement, ce réel construit, en d’autres mots, c’est l’ensemble des théories attestées et démontrer par la communauté scientifique. Bachelard «nous montre encore, l’observation reconstruit le réel». Ceci, nous montre clairement que le réel est l’objet d’une construction scientifique.

Conclusion

L’énergie, une grandeur physique exprimant le déploiement de la force équivalent dans la philosophie bantoue à l’être dans la philosophie occidentale, c’est ainsi que le complexe entre les deux approches n’a pas raison d’y être. Ce qui est vrai, ces deux approches donc, la philosophie bantoue et la philosophie occidentale n’ont pas toutes deux la même méthode. A s’appuyant un tout petit peu à la conception anarchique sur la méthode de Paul Feyerabend, nous comprenons que le concept de la méthode ne peut plus être la voie qui mène à la découverte scientifique. Et, grâce à la conception traditionnelle de la méthode émise par Pierre de la Ramée qui la présente dans une tendance pédagogique et il désigne la méthode comme un art de la disposition qui vient après l’invention et le jugement et montre comment le Maître ou le savant doit présenter et transmettre un savoir dont les contenus sont déjà acquis. Pour Francis Bacon, la méthode est l’art de la transmission ; à partir de Descartes, que la méthode aura le sens moderne qui est l’art d’inventer. Pour ce dernier, on invente grâce à la méthode. Alors, tout savoir qui n’aura pas l’art d’inventer comme fondement n’est pas un savoir scientifique.

Notes

Parys (Jean M. Van), Une approche simple de la philosophie Africaine, Kinshasa, Editions Loyola, 1993.
Bachelard Gaston, La formation de l’esprit scientifique, Contribution à une psychanalyse de la connaissance, Paris, J. Vrin, 2011.
Klein Etienne, Tout n’est pas relatif, Paris, Flammarion.
Feyerabend Paul, Philosophie de la nature, Traduit de l’allemand par Matthieu Dumont et Arthur Lochmann, Paris, Seuil, 2014.
Richard P. Feynman, Mécanique 1, Paris, Dunod, 1999.
Russ Jacqueline, Dictionnaire de philosophie, Paris, Bordas, 1996.
Baraquin Noalla, et al., Dictionnaire de philosophie, Paris, Armand Colin, 2005.
Lalande André, Vocabulaire technique et critique de la philosophie, Paris, PUF, 9e édition, 1962.

Références

Sur les origines du concept de méthode à l’âge classique : La Ramée, Bacon et Descartes, (consulté le 23/08/2023 à 10 h 30).
Contre la méthode de Paul Feyerabend (consulté le 23/08/2023 à 10 h 35).
Bible version Louis Second, édition 1910 : Évangile selon Jean (chapitre 10 : verset 10 deuxième phrase et verset 30) .